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En Namibie

Windhoek

Notre passage à Windhoek n’est dicté que par une obligation administrative : obtenir un visa. À peine arrivés, nous filons droit à l’ambassade de la République démocratique du Congo pour soumettre notre dossier.

Ce répit bien mérité nous comble. La Namibie nous offre une parenthèse sereine : les routes sont paisibles, les commerces bien fournis, et le camping de Windhoek nous accueille dans un cadre confortable et soigné.

Windhoek ne brille pas par son charme, mais elle réserve tout de même quelques curiosités dignes d’intérêt. Le Mémorial de l’Indépendance, imposant édifice moderne à la façade dorée, domine la ville, tandis que Kristuskirche, élégante église luthérienne héritée de l’époque coloniale allemande, offre un contraste saisissant

Au cœur de la ville, une avenue animée dévoile ses vitrines : boutiques élégantes côtoient des enseignes plus modestes, dans un mélange charmant de styles et d’ambiance.

Le visa

L’ambassade de la République démocratique du Congo nous avait annoncé un délai de sept jours. Impatients, nous décidons d’y retourner au bout de cinq. Bien sûr, les visas n’étaient pas prêts ! Après trois quarts d’heure d’attente, on nous rend enfin nos passeports, ornés du précieux sésame.
Demain, nous reprendrons la route, cap sur l’Angola.

Le parc d'Etosha

Le parc d’Etosha se trouve sur notre itinéraire. Deux options s’offrent à nous : le contourner ou le traverser. Nous choisissons de tenter notre chance une dernière fois, pendant 2 jours, portés par l’espoir de croiser enfin un lion.

Moins d’une heure après notre arrivée, notre vœu est exaucé : un lion et sa lionne se font des câlins à 100 m de la piste.

Par la suite, nous croisons des animaux familiers, déjà rencontrés maintes fois. Pourtant, chaque apparition nous émerveille encore, comme si c’était la première.

Au carrefour de deux pistes poussiéreuses, un majestueux rhinocéros apparaît, paisible, penché sur un trou d’eau pour étancher sa soif. Un instant suspendu, comme offert par la savane elle-même.

Le deuxième jour dans le parc s’ouvre sous un ciel d’ardoise, où la pluie joue à cache-cache. L’atmosphère est douce, presque mélancolique. Pourtant, la faune ne se laisse pas intimider : quelques animaux se montrent et nous gratifient de scènes vivantes, capturées en quatre courtes vidéos pleines de charme.

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